Chapitre 2 : un chasseur de prime un peu particulier

Eh bah non, loin de là ! pendant ce temps, sur terre, le L7 est sur la route pour… nulle part en fait, il est juste en voiture sur les plus grandes routes des Etats-Unis en quête d’adversaire à défier où de criminels à arrêter. Les capacités du Lightning 7 sont telles que quand le L7 se lance à votre poursuite il finit toujours par vous rattraper. Hélas, quand il n’y a personne à courser, les heures sont parfois longues. Heureusement qu’il finit toujours par trouver quelqu’un à aider. Soudain la radio de sa machine attire son attention.

Radio – interruption d’urgence : le prisonnier Roland s’est échappé de la prison de Port Town ! il se dirige vers la nationale 15 à bord d’une machine f-zéro violète et armé d’un lance-missile et de plusieurs armes à feu…

Louis – la nationale 15, ce n’est pas très loin d’ici ! allé, enfin un peu d’action pour moi !

Et il se dirige à toute vitesse vers la route en question.

Sur la nationale 15, le prisonnier Roland est poursuivi par des voitures de police (de 2310). Celles-ci tentent de le rattraper mais le bandit les empêche de l’approcher avec sa mitrailleuse.

Roland – partez tous au paradis bande de pots de colles vous ne me rattraperais jamais.

Policier – on perd du terrain, il va nous échapper !

Mais alors que la situation semble en désavantage pour la police, une machine jaune les dépassent avec un boost.

Autre policier – regardez, c’est le Lightning 7, on dirait bien qu’il est venu pour nous aider !

Roland – m*rde, c’est le L7 ! il n’est pas question que je me fasse encore capturer par ce type !

Le Lightning 7 se rapproche petit à petit de la machine de collection volée par Roland. Il essaye de passer sur sa gauche pour pouvoir le taper sur par le côté mais Roland lui tire dessus avec un blaster forçant le L7 à se placer dans le dos de la machine à poursuivre. Mais le L7 applique une autre stratégie : il essaye d’abord de passer sur la droite de sa cible et se fait tirer dessus par Roland. Mais il freine un coup sec pour ralentir et une fois à bonne distance utilise un boost pour passer juste à côté de lui. Roland tente alors une attaque tournoyante pour le frapper mais Louis qui à anticiper le coup esquive l’attaque. C’est alors que le chasseur de prime ouvre son cockpit et monte sur le toit de sa machine armé de son katana, à 430 km/h. Roland qui préfère ne pas se poser de question tente de lui tirer dessus en ouvrant que le côté de son cockpit. Mais le L7 saute sur la machine volée, s’accroche sur le toit et tente une manouvre imparable mais normalement impossible à cette vitesse : il se sert de son katana comme pied de biche pour faire sauter le pare-brise. Roland se prend une bouffée d’air tellement violente qu’il ne peut presque plus rien voir et est obligé de ralentir. Pendant ce temps, Louis retourne dans son cockpit et avec son fidèle engin de course pousse la voiture volée contre la barrière en béton de la route. Celle se vide d’énergie jusqu’à ne plus en avoir, s’arrête de marcher et dégringole sur la route avant de glisser sur le ventre en faisant des étincelles.

Une fois immobilisée, Louis sort de sa machine à l’arrêt, toujours avec son katana dans sa main droite. Comme la voiture volée avait suffisamment ralentie pour ne pas prendre feu, Roland a survécu à l’incident.

Roland – tu aimes les missiles L7 ? parce que je suis sûr que ce missile va t’éclater.

Armé d’un lance-missile transportable, le bandit envoie un missile de 30 cm de long sur le L7. Mais ce dernier fait face au projectile sans montrer aucune peur et frappe dedans avec sa lame. Le missile atterrit derrière lui en deux morceaux.

Roland – c’est impossible ! il a carrément coupé le missile en plein vol !

Louis – pour répondre à ta question : non, je préfère les armes de mêlée.

Alors les policiers arrivent et arrêtent le prisonnier évadé.

Roland est amené de force dans l’une des voitures de police.

Roland – s’ils vous plais, faites attention à mon costume messieurs !

Policier – merci pour notre aide L7, vous nous rendez de grands services, continuez ainsi.

Louis – seulement si j’ai mon habituelle rançon en temps que chasseur de prime. Cette fois-ci Je voudrais 50 000 dollars.

Policier – à ce prix-là vous êtes raisonnable. Je passerais le message aux commissaires et vous devriez les avoir avant votre prochaine course.

Louis – merci, et encore désolé pour la voiture de collection !

Le soir tombe, toutes les voitures de polices se dirigent vers la prison pendant que Louis retourne à Big Blue pour passer la nuit dans sa base secrète.

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